Rosel Kim est avocate principale du FAEJ. Dans le cadre de ses fonctions, Rosel contribue au développement et à la gestion des dossiers du FAEJ et en rédige les propositions de réforme du droit. Elle a récemment agi en tant que co-avocate pour le FAEJ dans l’affaire Alliance canadienne pour la réforme des lois sur le travail du sexe c. Canada (procureur général), une affaire contestant la constitutionnalité des dispositions du Code criminel relatives au travail du sexe. Rosel a dirigé le processus d’élaboration de la position du FAEJ concernant le travail du sexe, une première pour l’organisme, et a coécrit le document de position du FAEJ sur ce sujet.
Rosel dirige actuellement le projet du FAEJ sur la violence facilitée par la technologie, qui explore les réponses juridiques axées sur l’égalité, relativement à la violence genrée facilitée par la technologie (VGFT). Elle est régulièrement invitée à parler des questions liées à la technologie et à la violence fondée sur le genre devant des comités gouvernementaux, des membres des médias et la communauté juridique plus générale.
En marge de son travail pour le FAEJ, Rosel siège au conseil d’administration de la Korean Legal Clinic, qui vise à améliorer l’accès à la justice, pour les Canadien·ne·s d’origine coréenne, en leur fournissant des services juridiques, une formation et des ressources adaptés à leur culture et à leur langue.
Ses écrits sur les questions liées à la justice, à la race et au genre ont été publiés notamment dans le Toronto Star, The Ex-Puritan et le magazine GUTS.
La Fédération des avocat·e·s asiatiques-canadien·e·s a récemment nommé Rosel Jeune avocate de l’année 2023.