La Soirée pour l’égalité du bureau national du FAEJ est notre plus grande et plus importante célébration de l’année – les fonds recueillis lors de cet événement servent directement à soutenir les efforts pour faire progresser l’égalité des genres au Canada, tout au long de l’année.
Les billets pour la soirée pour l’égalité 2025 sont épuisés – merci de votre soutien !
Cette année, la Soirée pour l’égalité du FAEJ a lieu la veille (16 avril 2025) du 40e anniversaire de la Journée de l’égalité.
Le 17 avril 1985, l’article 15 de la Charte canadienne des droits et libertés est entré en vigueur, garantissant l’égalité dans la formulation et l’application de la loi. Le FAEJ a été créé le même jour en amorçant pas moins de trois contestations judiciaires pour lutter contre des lois discriminatoires.
Au cours de ces 40 ans, nous avons milité pour le renforcement des droits à l’égalité dans plus de 145 affaires. C’est un jour spécial pour le mouvement du FAEJ et nous serions ravi·e·s que vous preniez part à la fête.
DÉTAILS DE L’ÉVÉNEMENT
Le 16 avril 2025 en soirée, le FAEJ accueillera des centaines de supporteur·trice·s au Carlu, à Toronto (444 rue Yonge, Unité 7), pour une réception et un repas trois services. Cette magnifique soirée réunira des membres des communautés juridique, féministe, universitaire et militante ainsi que du milieu des affaires et du secteur syndical.
Nous sommes heureux·ses d’annoncer que la célèbre auteure Tanya Talaga sera notre conférencière invitée à l’occasion de cette soirée spéciale.
À propos de Tanya : Tanya Talaga est une auteure, journaliste et cinéaste de renom, d’origine anishinaabe et polonaise, et membre de la Première Nation de Fort William. Titulaire de cinq doctorats honorifiques, elle a été journaliste au Toronto Star pendant plus de 20 ans et est aujourd’hui chroniqueuse régulière pour le Globe and Mail.
Son troisième livre, The Knowing, raconte l’histoire de ce pays comme elle seule peut le faire – dans une perspective autochtone, en commençant par la vie de son arrière-arrière-grand-mère Annie Carpenter et de sa famille, qui ont vécu des décennies d’émancipation et de génocide autorisés par l’État et l’Église. The Knowing met en lumière l’oppression séculaire qui persiste à ce jour dans les communautés autochtones.
